J'ai testé...


2 février 2014

J'ai testé pour vous ... Parler de moi à travers mon sac 

Parce que parfois je suis en retard (souvent même), je prends mon sac sans vraiment regarder ce qu'il y a à l'intérieur et quand je rentre le soir chez moi, j'ai mal au dos à en mourir (j'exagère à peine). C'est ce qu'il m'est arrivé aujourd'hui, et je me suis dis qu'un petit rangement/compte-rendu des objets à l'intérieur de mon sac s'imposait. 

Camille chante "Elémentaire mon cher Watson
Des sacs de filles pleins à ras bord
Des brunes des rousses des boucles d'or
Mais qu'est-ce qu'il y'a dans le sac des filles ?"
Cela m'a paru comme une évidence : nos sacs (et ce qui s'y trouve) reflètent notre personnalité. En dix minutes chrono, je me présente en vous montrant l'univers de mon sac bordélique. 

Je vous avoue qu'il y a encore quelques temps, je ne me baladais avec aucun sac. Un ami un jour m'avait demandé de garder son portefeuille dans mon sac, et quand je lui avais répondu que je n'en avais pas, il m'a répondu "Ah mais tu n'es pas une vraie fille alors". Ok mec. En attendant, sa remarque, aussi sexiste qu'elle fut (d'où les filles doivent avoir des sacs et les garçons non ?), m'a fait réfléchir. Aujourd'hui, ne serait-ce que pour aller au tabac du coin, je dois prendre un sac. Cependant pour moi qui dit sac, dit bordel. J'ai beau être assez psychorigide et maniaque sur les bords (du moins dans mon appartement), mon sac est un vrai dépotoir. Je vous épargne le nombre de mouchoirs utilisés, les chewing-gums tombés ici et là et les paquets de cigarettes vides que j'ai retrouvé dans mon sac en le nettoyant. Mais voilà, en faisant le tri, à la fin dans mon sac, il y a ça :

- Mon ipod sans lequel je ne vis plus (nauséeuse dans les transports, j'ai besoin de me changer les idées avec de la musique. Puis c'est pratique, quand un relou ou deux veulent te draguer, souvent ils laissent tomber en te voyant très concentrée par la mélodie qui arrive dans tes oreilles). La 7e génération, violet derrière. Pratique, attachant. 
- Mes deux trousseaux de clés : celui de mon super appartement, et celui de chez ma mère 
- Ma trousse de "secours" comme mes amis l'appellent : avec des crèmes, des médicaments, un rouge à lèvres, du baume et même un couteau suisse, on ne sait jamais.
- Le collier retrouvé fait avec ma demie-soeur lors de mon voyage en Nouvelle-Calédonie (Soleil, i miss you)
- Un carnet de notes, que je dois avoir tout le temps sur moi parce que me trottent toujours des idées dans la tête 
- Mon paquet de cigarettes "customisé", et le briquet qui va avec
- Mon nouveau parfum, Flowerbomb de Viktor & Rolf (qui remplace "ma" petite robe noire)
- Un vernis. Il s'avère que cette fois c'est un Chanel, mais ça aurait pu être un Sephora, un sans nom, sans marque. Juste parce que j'adore avoir les ongles peints, de toutes les couleurs possibles et que pour ne jamais me retrouver prise de court, un vernis me suit dans tous mes déplacements, sagement dans mon sac. 
- Mon nouveau bébé-portefeuille, offert par ma belle-mère à Noël : le Daligramme par Lancel. Assez lourd, mais tellement pratique, j'ai envie de lui faire des bisous toutes les fois où je le sors pour payer mes courses. Les symboles qui sont dessus sont les lettres de l'alphabet que Dali a inventé pour son amour de toujours, Gala. D'ailleurs, Dali a dit lui-même "J’aime Gala plus que ma mère, plus que mon père, plus que Picasso, et même plus que l’argent." 
- Mon portable aka mon meilleur ami
- Mon livre du moment "Une critique d'art engagé" et un stylo pour souligner des choses (ou écrire dans mon carnet. Sans lui, ce n'est pas pratique).
- Et enfin mon deuxième meilleur ami (rien ne remplacera la complicité que j'ai avec mon iphone), mon Mac et sa super pochette Botticelli.



















Aussi voilà mon sac, le modèle Camille de la super marque Sabrina. Il est doré certes, mais qui a dit qu'en hiver on ne devait que porter des couleurs sombres ? Au contraire, je trouve qu'il met un peu de couleur dans le gris des rues pavées de Paris.
Détail : un bijou de sac ramené par ma maman de son voyage en Haïti, qui casse un peu le doré

Vous l'avez compris, mon sac contient des objets personnels, comme pour tout le monde. Et s'il m'arrivait de les perdre, je serais bien malheureuse. Un sac de filles, c'est son monde. Et à chacun le sien. Le mien fait très fille, certes, et on y voit également ma passion pour l'art et pour l'écriture.


Un carnet de notes ? Indispensable ! Quand me vient une idée pour le blog, ou pour une idée de roman (je n'en dis pas plus), je note tout dans mon carnet ... Quitte à m'y perdre de temps en temps !
"Une critique d'art engagée" est le livre qui me suit en ce moment dans le métro. L'auteur, Dominique Berthet (critique) me l'a dédicacé, il a autant plus de valeur pour moi. 






Détail : Parce que même si parfois je me comporte comme un mec plutôt que comme une fille, je reste néanmoins attachée aux grigris tous roses, aux senteurs et aux objets attachants, comme mon porteclé Longchamp qui a une valeur sentimentale également, car il m'a été offert par la meilleure amie de ma mère, "pour la clé de mon premier appartement" 



Ma coque et la protection de mon ordinateur (ainsi que l'autocollant Keep Calm and Carry on sur mon mac) viennent du site Mini in the Box. Allez faire un tour dessus, vous ne serez pas déçus ! (Je sais, je suis en Histoire de l'art et évidemment, je choisis La Naissance de Vénus par Botticelli comme pochette. C'est cliché. J'adore.)



Pour finir, une fois le "ménage" fait dans mon sac, un rangement s'impose. Chaque chose retrouve sa place, ce qui me permet, pendant quelques jours, de ne pas pester en cherchant désespérément les clefs au fin fond de mon sac (Je les ai trouvé ! Ah non, c'est celle de chez ma mère...). Qu'il est doux quand tout est coordonné. Et puis, de nouveau, c'est le bordel.
Et de nouveau, j'insulte.




Triste vie de fille !




Envie de voir des sacs de filles
Carnet Prune nous présente également le sien
Le sac de Make my Lemonade me fait rêver !

"Des tic tac des mic mac des clips

Des paires de claques Des je t'aime
Je te plaque, badadoum patatrac"



28 janvier 2014 

J'ai testé pour vous ... Faire les soldes sur internet

Non, ça ne va pas être un article "mode d'emploi" pour faire les soldes sur la toile. Et non, rien ne m'empêche de prendre le métro et de dépenser mon argent en vêtements, chaussures, livres ou autres. Cependant, je vous dresse ici une liste des bons plans internet, parce que certaines marques méritent d'être connues par tous, même si elles n'ont pas de boutiques. 

POKAY (Fresh Delirium) 
vous propose des vêtements "de la street" à -15% pendant les soldes. Pour en savoir un peu plus sur eux

Pour toutes celles et ceux qui aiment que leur appartement sente bon, avec Nour vous allez être servis !
Ses bougies sont 100% naturelles, il y en a pour tous les goûts, toutes les couleurs. Petit faible pour celle que je me suis prise, la bougie Coup de Foudre (pailletée et toute rose). Soldes jusqu'à -50% !

Les sacs éco-responsables, en matières naturelles, de toutes les formes, les couleurs. Des soldes jusqu'à -80%. Je me suis moi-même prise un sac de week-end qui me suit lors de mes innombrables déplacements de chez ma mère à chez moi (et vice versa), et en prime, j'ai eu droit à une pochette !

Plus la peine de parler du coussin Brigitte (& mes fesses, tu les aimes ?) qui est le petit nouveau dans mon (super) salon. Coussin Germain (même le nom est rigolo), c'est la marque de coussins originaux, où on trouve le coussin Wanderlust (appelé l'Aventurier) ou des plus basiques, des coussins à rayures. Soldes jusqu'à -50% 

Parce qu'à Noël, j'étais à deux doigts de m'acheter All i want for Christmas is Ryan Gosling, RAD me vend maintenant du rêve avec sa collection Valentine's day ("Gonna die alone, lol"). La marque vous propose des vêtements à des prix parfois, très, très attractifs. 

Pour finir, et parce que je n'ai pas le temps de rester plus (inscription au sport pour le second semestre oblige...), si jamais vous voulez faire croire que oui oui, vous aimez l'art au point d'en accrocher dans votre appartement, Art.fr vous propose -25% sur tout le site jusqu'à vendredi (si j'avais su, j'aurais attendu pour acheter ma super reproduction de Kemp) !

Sinon, mon livre est toujours en vente. Non il n'est pas en solde, mais si vous l'achetez vous avez le droit à une dédicace de ma part, et un bisou (voire deux), ça vaut toutes les réductions du monde ça, non ? 

Allez, sur ce, je vous laisse dépenser tranquillement, et comme dit Carrie :






3 janvier 2014

J’ai testé pour vous … Les Tatouages Ephémères BEROCK


Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, une chose essentielle à savoir sur moi : je suis totalement accro aux tatouages. Pour mes 18 ans, avec mon père on s’est fait faire le même tatouage. Pour mes 20 ans, je m’en suis fait un dans le dos. Et je compte m’en refaire un d’ici peu de temps (à bon entendeur, salut) et j’ai déjà des idées pour les années à venir.
Sachant qu’un tatouage ça se garde à vie, qu’on doit faire attention où on le fait, que c’est dangereux, que c’est cher et voilà pas que je te détruis ton truc, j’ai décidé de tester les tatouages éphémères. Ça ne sera jamais aussi cher qu’un vrai tatouage, ça sera toujours moins dangereux et en plus on peut s’en faire un en plein milieu de la figure, il finira toujours par partir. Bon plan quoi.

Aujourd’hui je vais donc vous parler de Berock, qui m’a permis d’être (presque) aussi tatouée que Rihanna pendant une semaine.

Qu’est-ce que Berock ?

Le concept de la marque est né grâce à l’un des fondateurs dont le petit nom est Charles,  qui a eu l’idée de « glamouriser » le tattoo. Idée (de génie) validée, une équipe de 5 s’est mise en place. Elle comprend la personne qui s’occupe du graphisme, celle qui s’occupe de la personnalisation, puis la comptabilité, celle qui s’occupe des ventes, une autre pour le site et la communication.

Concernant les tatouages, les formes proposées sur le site sont choisies en fonction des tendances modes dans les médias et aussi, Berock ajoute « en fonction de la vision des fondateurs ». Ainsi, le symbole de l’infini, du diamant (merci Riri) et du pistolet (pour faire le gangster) sont proposés, en même temps que la tête de mort ou la plume.






Vous n’avez jamais entendu parler de Berock ? Et pourtant, actifs sur leur page, également présents sur Instagram, ils cartonnent lors des soirées branchées telles que celles Au Bonheur des Dames, on parle d’eux dans la presse (et sur les blogs, preuve ici) et Berock participe également à des concours.



Mes motifs préférés 

Pour finir, Berock c’est aussi les photos de jolies nanas tatouées avec l’un des tattoos de la marque. Vous en trouvez sur la page Facebook, mais aussi sur internet. Que ce soit des selfies ou des shootings, Berock est partout sur ces jeunes demoiselles au corps de rêve.
Ouh qu'elle est jolie

Berock Tattoo, c’est le numéro 2 mondial, des Tatouages Ephémères, donc pas mal de concurrence. Je ne parlerai pas du numéro 1, qui se trouve aux Etats-Unis, j’ai promis de ne pas leur faire de la pub ;)
Outre les tatouages éphémères, vous trouvez sur leur site des tee-shirts, des 
               pulls et aussi des coques. Il n’est jamais trop tard pour faire vos cadeaux de Noël !


BEROCK ET MOI


Pour écrire cet article, je me suis dis que c’était beaucoup mieux de tester les tatouages. Sans prétention, j’ai préféré être mon propre modèle, ce qui permettait d’éviter les désistements de dernière minute et les caprices de diva.

Merci à mon amie Alix, photographe passionnée et douée à qui j’avais fait appel aussi pour la photo de couverture de mon roman. Oui oui, c’est une super copine !


Après avoir acheté les tatouages, il a fallu les mettre. Rien de plus simple. C’est comme pour les tatouages Malabar. On enlève le film transparent, on met le tatouage sur la zone où on souhaite qu’il apparaît puis muni d’un gant on humidifie le dessin sur la peau pendant une minute. Enlevez DELICATEMENT le papier et tadam ! 









Les tatouages restent 4 à 5 jours, enfin cela dépend des peaux. Mais au-delà, les tattoos commencent à s’abimer, et vaut mieux les enlever.



Ps : pour ouvrir un peu nos esprits et tenter de comprendre le pourquoi du comment concernant les tatouages, voici un article très intéressant


31 décembre 2013

J'ai testé pour vous, ranger la chambre d'une gamine de 5 ans 

Parce que j'en ai marre de dormir dans un désordre composé de poupées, de maillots de bain (et elle en a toute une collection) et de feutres pas rebouchés, aujourd'hui j'ai décidé de prendre le taureau par les cornes (c'est-à-dire ma demie-soeur, mi-ange mi-démon) et lui "ordonner" (avec des bisous) de ranger sa chambre. Bien sûr je l'ai aidé.

La récompense : Rebelle passait à la télé. On ne se lasse pas de la regarder faire la morale à un ours !

En tout, cela nous a pris une heure. Comme dit Stromae, "Quand tu crois enfin que tu t'en sors, quand y en plus et ben y en a encore !" : c'était exactement ça. Et je ne parle pas de la penderie.
Tel un explorateur cherchant de nouveaux trésors, je me suis aventurée dans l'espace privée de ma soeur, et tout en rangeant, je me suis rendue compte que sa chambre contenait quelques petites merveilles. A vous de les découvrir maintenant !


Tout d'abord sa penderie. Digne d'une princesse. A son âge, j'aurais aimé avoir le même. Entre les pyjamas Hello Kitty, les vingtaines de maillots de bain et surtout les nombreuses robes, j'avais l'impression de me retrouver, en l'ouvrant pour la première fois, devant la penderie de Carrie Bradshaw à cinq ans. Ce soir c'est le diner du 31 en famille, ô joie de l'aider à trouver la tenue parfaite pour la soirée !


Désolée pour la vision panoramique, je ne suis décidément pas douée. Quand le désordre devient ordre, il est plus facile de regarder devant nous et au-dessus de nos têtes (sans risque de se prendre un bras de poupée dans le pied, mine de rien ça fait super mal). Voilà les murs de Manon fait avec Amour par ma belle-mère, de ses petites mains pleines de doigts manucurées. Des petits coeurs pour de jolies nuits. 


Ma petite soeur, mine de rien, je l'aime énormément. On joue à la princesse, on se partage les vernis (oui oui, à son âge, elle a des vernis ! La faute à maman) et on passe des heures à regarder Disney Ciné Magic. Je me demande si c'est parce qu'elle est sociable ou juste parce que j'ai le syndrome de Peter Pan et que j'adore redevenir une gosse à chaque fois que l'occasion se présente...



Le jouet à retenir : la maison de poupée qu'elle a eu pour Noël, montée par un papa qui peut se montrer patient, quand il veut. Au final, elle ne l'a pas encore utilisé. Demain, prochain challenge, retrouver les poupées qui vont à l'intérieur, l'enfermer dans sa chambre et la faire jouer toute la journée avec. Je sais, je suis cruelle (rire diabolique).

Autre trouvaille, sa gourde PINK avec des paillettes à l'intérieur. Trop bête, mais fallait y penser comme déco. D'ailleurs, elle irait bien dans mon joli appartement (alias Billy Dreyfus, Billy pour les intimes). Bon, si je l'emporte malencontreusement, je ne pense pas qu'elle s'en rendra compte, si ?


 C'est pas comme si je lui embarquais son camion Barbie montée par ma belle-mère, "autocollé" par moi (et je peux vous dire, faut avoir fait Bac+3 pour comprendre certaines des indications).

Bref, c'est un article qui sert à rien, juste parce que je suis bien contente de commencer l'année dans une chambre de princesse BIEN RANGEE. Je ne sais pas si ça aide à mieux rêver du prince charmant, en tout cas, on se sent bien mieux psychologiquement !

Voici mon lit, Ken et Barbie sont assez sympas. J'ai acheté Projet Adam (Et si vous inventiez l'homme parfait ?) ce midi quand on est allés acheter le repas pour ce soir. J'ai commencé, c'est pas mal. A côté, l'ipad de ma soeur. Oui, son Ipad. Que vous dire, la nouvelle génération est en train de nous dépasser. Enfin.

Sur ce, je vous laisse, j'ai écris cet article en même temps que je regardais Rebelle, j'ai fini par perdre le fil de l'histoire, mais on va dire que je le connais par coeur, donc pas très grave. Par contre là, y a Hannah Montana le film, et j'ai bien envie de le regarder pour comprendre comment on a pu passer de ça à ça :


Je vous tiens au courant si j'ai LA révélation ! 

Bonne fête à tous !!
A. 

2 décembre 2013 

J’ai testé pour vous, faire un stage à FOTOFEVER


Dernière année de licence (si dieu veut comme on dit) d’Histoire de l’Art, dernière ligne droite avant le Master. Pour me différencier de mes chers camarades de Faculté, j’ai décidé de faire plusieurs stages.
Il y a deux semaines, je me suis occupée du stand Uprising Art à Fotofever au Carrousel du Louvre.

Qu’est ce que Fotofever ? S’est déroulée en novembre la deuxième édition de la foire de photographie Fotofever.  Ce projet a été lancé par Cécile Shall, petite-fille du photographe Roger Shall. Cette année, c’est la photographie contemporaine qui a été mise en avant, avec la presentation de cent galeries sur deux salons. Au programme, exploration de la diversité de la photographie contemporaine, des conférences, un fotoprize (c’est-à-dire un concours pour jeunes diplomés) et l’exposition de la Collection privée d’Alexandre Dupouy “Fesse to Fesse”.



Expérience très enrichissante, car même si j’ai dû surtout rester à mon stand (E4) pour parler des quatre artistes cubains qu’Uprising Art  exposait (c’est-à-dire Adrian Fernandez et “ses” fleurs qui montrent beaucoup plus qu’on ne le croit, Adonis Flores, dont l’oeuvre s’inspire de son experience militaire, Liudmila & Nelson, couple dans la vie qui photographie La Havane d’hier, d’aujourd’hui et de demain, et enfin René Pena, un sacré personnage dont les photographies se rapprochent de l’autoportrait, sans l’être), j’ai pu quand même me balader, parler avec quelques exposants mais aussi aller assister à une des conférences proposées, le thème étant : Comment commencer une collection ?


Jeudi : soirée d'ouverture de Fotofever, on se balade au Louvre
Outre le fait que le Louvre soit ma deuxième maison (et que du coup je m’y sente comme chez moi), j’ai trouvé que la disposition et la mise en place de la foire était organisée et structurée. J’ai été surprise par la rapidité avec laquelle Fotofever a pu être mis en place, sachant que trois jours avant la soirée d’ouverture se tenait au Carrousel Le Salon du Patrimoine de 2013. Malheureusement je n’ai pas trouvé qu’il y avait beaucoup de monde (mon point de comparaison étant le stage que j’avais effectué en septembre à un stand aux Puces du design de Bercy), sûrement à cause du froid polaire qu’il faisait à ce moment-là (et oui, incroyable mais vrai, je trouve ce temps des premiers jours de décembre incroyablement agréables, je n’ai pas l’impression que ma morve est en train de geler dans mon nez) et aussi parce que se déroulait en même temps que FotoFever, Paris Photo au Grand Palais. Faudra qu’on m’explique pourquoi on a fait ces deux évènements en même temps, d’ailleurs.
Y étant pendant quatre jours (à force, tout le monde se disait Bonjour le matin, se souriait quand on se croisait dans la foire) j’ai eu le temps d’observer les galleries y tenant un stand, et je vous présente ici mes coups de coeur  : 

Tout d’abord un “Big Up” à la galerie Uprising Art, à qui j’ai donné un coup de main. Outre le fait que Claire Richer, la fondatrice d’Uprising et Clelia Coussonnet (en charge du contenu éditorial du portail internet, et s’en est du boulot !) soient très gentilles, professionnelles et hyper motivées (sans oublier passionnées), le stand était magnifique et les artistes exposés sont tous d’une grande qualité. Je suis heureuse de voir, avec Uprising Art, donner aux artistes caribéens une place dans le monde artistique. 




Mon coup de Coeur ? Les fleurs d’Adrian Fernandez, toutes aussi jolies les unes que les autres, et plus particulièrement celle-ci, car maintenant je juge une oeuvre en fonction de sa place dans mon appartement (oui, il est vide de tableaux, je sais c’est un comble pour une fille qui “bouffe” des oeuvres d’art tous les jours)









Qu’est-ce qu’Uprising Art ? C’est le portail de l’art contemporain de la Caraïbe dont l’ambition est de contribuer à l’émergence et au rayonnement  des artistes des îles de cette region. Si vous voulez en savoir plus : ne vous en privez pas !


Un GROS coup de coeur pour la galerie Victori Contemporani, venant des Etats-Unis qui a exposé LéoCaillard, photographe s’amusant à revêtir les statues du Louvre de vêtements contemporains. Idée extrêmement orginale. Pardon pour la qualité de la photo, la vision panoramique laisse à désirer. J’ai du faire vite car bon nombre de galleristes sont contre le fait qu’on prenne leur stand en photo. Et comme il n’ y avait personne j’ai sauté sur l’occasion (bad girl). Mon coup de coeur reste pour Atalante, merveilleuse déesse au soutien gorge bon marché.  
Atalante 



Aussi, je veux vous presenter non pas un stand mais une oeuvre de Cécile Plaisance, Burqua, une oeuvre lenticulaire où, en function de notre position on voit une femme voilée devenir une pin up très légèrement vêtue !





Autre coup de coeur : la série Nu Zébré de Lucien Clergue, visible dans l’exposition “Fesse to Fesse”, la collection privée d’Alexandre Dupouy, collectionneur et galeriste qui est notamment intervenu pour raconter le pourquoi du comment de la naissance de sa collection.


Bien sûr, il y va de soi que je dois parler de la Galerie Libertine d’Emilie Dujat, dont le stand était magnifique. Une très belle rencontre, soi dit en passant. Emilie Dujat sait que les photos qu’elle expose, complètement érotiques, peuvent parfois déplaire, mais elle le fait pour elle, et cela la distingue de pas mal de gens. La prochaine fois que je vais à Bruxelles, il est certain que je vais faire un tour dans sa galerie ! 
                          
Photo : Frédéric Fontenoy (cette photo est l’une des plus softs de sa série)



Pour finir, voilà une photographie de Thomas Duval, que j’ai peu apprécié (après, à chacun ses gouts !) mais que je voulais vous montrer qui avait une soeur dans la même “ambiance” et qui est partie… à 1400 euros ! Voilà voilà !







En conclusion je suis sortie de cette experience avec la dangereuse conviction que ma place était ici, à côté de toutes ses oeuvres, des étoiles plein les yeux, un tout nouveau cabas (un jour il faudra que je vous montre ma collection privée, parce que moi aussi j’ai des collections privées), de nouveaux contacts et pas mal de cartes/prospectus qui encombrent désormais ma chambre !











9 novembre 2013


L’Anticafé Rue Quincampoix


Parisienne depuis un mois (le temps passe vite !), j’ai beau adoré mon appartement, je m’y ennuie un peu. La raison ? Ni internet ni télévision ; merci Free (je pourrais vous faire l’éternel blague « J’ai pris Free, j’ai rien compris » mais bon je vous épargne ça). Du coup, quand il s’agit de faire des réunions pour RubyRubisRuby, c’est évidemment assez compliqué, ne serait-ce que lorsque l’on veut vérifier une information ou tester la mise en page du blog.
Ma super copine graphiste, qui s’est occupée de beaucoup, beaucoup de mes projets pro et perso, nous a alors proposé, à Dita Leto et moi de tester avec elle l’Anticafé.

Qu’est-ce que cette chose étrange ?
Dès qu’on va sur le site du café, outre le design original, la première chose dite est « Nous sommes différents ». Et ils ont raison. Le principe de l’Anticafé est en quelque sorte de payer le temps que l’on passe dans le café, et consommer à volonté.

Je m’explique, en arrivant dans le café, on est accueillies par l’une des employées (très gentille, soit dit en passant) qui nous demande si c’est la première fois qu’on vient. Comme c’était le cas pour moi la semaine dernière, elle m’a expliqué de façon claire nette et précise le fonctionnement de l’établissement.
J’ai ma carte, je m’assois, je consomme, j’utilise le wifi gratuitement et ça jusqu’à ce que je décide que j’ai assez passé mon temps à travailler/glander. A ce moment-là, je vais payer
. Et non, je ne paye pas mon chocolat chaud (ni Ilona son « brunch » de 15h), mais juste le temps où je suis restée dans le café.


Outre le principe original, l’endroit est agréable, très jeune. Des jeux de société sont à disposition, internet va aussi vite que l’éclair et le chocolat chaud est délicieux.
Je vous le recommande donc !

En se baladant dans la rue Quincampoix, au joie de trouver que le Diamantaire était passé par là ! Pour en savoir plus sur ce drôle de personnage qui marque son territoire dans les rues de Paris, c’est par  !



En continuant sur ma lancée, juste en face de Beaubourg, un concert de piano gratuit. Il est beau et talentueux, mais surtout inconnu, et il nous a joué Get Lucky des Daft Punk et de Pharrel Williams d’une façon originale. Ces pianos, qui se « baladent » dans la capitale, sont à dispositions de tous les amateurs de piano voulant faire découvrir leur talent.

C’est pour ce genre de choses que j’aime Paris !



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