Impossible n'est pas Ruby !

26 mars 2014

Quand un Bel Oiseau prend son envol ... 

Parce que oui, je fais une fixette depuis peu sur les sacs (comme toutes les filles j’ai envie de vous dire) & parce que je ne me lasse pas de vous trouver articles, livres et citations les concernant, aujourd’hui j’ai décidé de vous parler de L’Oiseau Parisien, un véritable coup de cœur.

Coucou toi.

La marque est née il y a un an. Sa créatrice me dit « Parisienne de base, j’ai voulu mettre en avant le côté français cher à mes yeux. Mes modèles sont destinés à la femme moderne qui aime se distinguer des autres par des pièces uniques »
Uniques ? Ils le sont. Et originaux. C’est tout de suite ce qui m’a plu.

C’est sur le groupe privé CINQ YOU que Tiphaine Granger avait partagé des photos des sacs en demandant aux membres leurs avis. Ni une ni deux, les commentaires ont fusés (et si je me souviens bien, il n’y avait que des éloges et des mots d’encouragements, de quoi remonter à bloc le moral d’une toute nouvelle marque) et j’ai ainsi pu découvrir ces jolis sacs.

Mais voilà dilemme, je craque, lequel choisir ? Ils sont tous beaux, attachants, et ayant l’habitude de me trimballer avec des sacs plus énormes que moi (si si c’est possible), la vue d’un sac de petite taille me fait peur … Et pourtant, je suis tombée amoureuse de l’Ecolier, du Cavalier, et même du White Diamond.

Ah bah je suis tombée amoureuse de celui-là aussi…

Vous ne les connaissez pas ? Je vous invite à faire leur connaissance. Ils sont sympas, et surtout, très mignons…


D’ailleurs L’Oiseau Parisien, comment fais-tu pour te faire connaître ?
« Pour me faire connaître je valorise les réseaux sociaux les boutiques sur paris principalement comme la boutique OUT au métro Anvers ».

                                 Métro Anvers par le coquin Janol Apin

Située en plein cœur de Paris, la boutique OUT vous propose donc de découvrir L’Oiseau Parisien. Et si on allait y faire un tour ? Et pas de panique, si vous ne trouvez pas votre bonheur, la marque vous propose des sacs sur mesure, oui oui, c’est même dit sur le site ! Comme quoi on finit toujours par trouver un compromis.

On dirait deux copines qui vous observent du coin de l’œil 
et qui piaillent quand vous retournez le dos. Ok j’arrête.

Pour finir, j’ai demandé à L’Oiseau Parisien quelle serait SA tenue idéale pour « l’arrivée du printemps et ses beaux jours » (je cite L’Oiseau hein, même moi je voudrais y croire)

Ou pas.









« Pour un coup mode je préconise le sac Tutti Frutti, avec un jean une veste un chemisier aux détails dentelle. Sans oublier les bijoux or qui font ressortir la poignée de notre sac Le tout ajouté à un beau vernis rouge bien frais. »










C’est compris mesdemoiselles ? J’ai tout, il me manque juste le sac idéal … Et je sais que L’Oiseau Parisien m’aidera à trouver mon bonheur. A moi un vrai sac de parisienne, petit charmant qui me changera de mes gros sacs usés à force de me supporter !

Et pour finir sur une jolie touche concernant (encore) ma nouvelle lubie à propos des sacs, voici un livre qui satisfera les accroes comme moi !





14 février 2013

Toi aussi, tu veux adopter ? 



Plus besoin de vous présenter Adopte un mec. Je pense que vous seriez surpris de voir le nombre de personnes qui côtoient ou ont côtoyé ce site parmi votre entourage. Parce que la Saint-Valentin c’est quand même bientôt, que moi je m’en fous, mais qu’il y en a que ça dérange de se retrouver seul(e) un 14 février, voilà un article qui peut vous intéresser.

Je remercie Florent Steiner fondateur du site d’avoir bien voulu répondre à mes questions.
« Adopte un mec est née tout début 2007. Après une réflexion sur les principaux défauts des sites de rencontres de l'époque. Nous voulions faire un site, une simple blague, pour montrer aux acteurs du moment ce qu'on pouvait apporter. Plusieurs mois plus tard, nous avons compris que c'était plutôt une bonne idée qui méritait d'être creusée ! C'est donc dans notre salon, à trois, avec nos propres sous que nous avons commencé le projet. Aujourd'hui, nous sommes plus de 50, mais toujours en fond propre. ». Adopte un mec, le site qui rompt les principes du Webdating, conçu pour les femmes, parce que mine de rien, qui aurait cru qu’un jour on prendrait malin plaisir de dire « Tiens hier soir, j’ai mis un mec canon dans mon panier » ?


La campagne publicitaire définit le site comme le « supermarché de la rencontre où les femmes font des bonnes affaires », et revendique le GirlPower. De nos jours, plusieurs de femmes préfèrent se poser tranquillement derrière leur ordinateur pour rencontrer l’amour que de sortir pour trouver un prince charmant. Ou un coup d’un soir. Parce que les femmes ont le pouvoir, et que ça change des héroïnes Disney qui attendent sagement que le Prince Charmant vienne leur faire un bisou magique pour les réveiller. Bien sûr, si on parle de l’aspect sociologique de la chose, les mecs ne sont pas des objets, et si c’était le contraire, si c’était l’homme qui décidait ou non de nous parler, et bien on en prendrait un coup dans notre estime. Et il est vrai aussi que la conception d’ « Adopter » un mec, me donne l’impression de l’avoir trouvé dans la rue, mais en attendant, le site marche et messieurs, avouez que vous êtes bien contents de vous faire marcher dessus et de pour une fois, ne pas avoir le contrôle. Au contraire, ce site pousse les garçons à donner le maximum puisqu’ils savent que ce n’est pas simplement avec leurs charmes qu’ils arriveront à leurs fins (enfin, bien sûr, ça dépend).

L’envers du décor

Adopte un mec, le site à prendre au second degré (« Produits régionaux », ou encore « La Mise en Panier Illimitée »), est bien chouette, notamment concernant l’esthétisme du site : il est jeune, design, attractif. Même moi, quand je n’étais pas célibataire, j’étais bien curieuse d’y jeter un œil et mettre deux ou trois mecs dans un panier.
Le site nous fait passer pour des chieuses, difficiles à satisfaire, qui choisit entre un garçon mignon près de chez nous ou un mec canon habitant dans le fin fond de la banlieue, comme on aurait choisi des chaussures. Parce que c’est ça, on fait nos courses, plus besoin de sortir en boite ou d’aller à la salle de sport pour se faire draguer, Adopte est notre nouveau Best Friend.


J’aimerais bien être l’un des poussins

J’ai d’abord été assez surprise par le nombre de mes amis qui utilisaient le site. Tel un petit pois bleu dans le ciel, je pensais qu’à chaque coin de rues on pouvait trouver l’amour et le garder. Outre le concept qui semblait beaucoup plaire, je ne concevais pas qu’à mon âge on puisse être aussi « désespéré » pour aller sur un site de rencontres. Et puis j’ai changé d’avis.
Mettons-nous dans un contexte : on est vendredi soir, il pleut à torrent depuis le matin, vous n’avez plus un rond et vous ne rentrez plus dans la plus belle de vos robes. Quoi de mieux que de s’installer tranquillement dans votre canapé et choisir des mecs à la carte ?
Et puis la vie sur Adopte, c’est anecdotique. On a pu en rire, de ces mecs qui viennent nous draguer sur le site, avec mes copines de fac.
L’autre jour il y en avait un qui m’avait quand même sorti « On pourra l’écrire ensemble ton nouveau roman. On écrira notre histoire ». Comment dire … ?

Pour en revenir à Florent, je lui ai demandé de se prêter au jeu et de me dire ce à ressemblerait son profil sur Adopte. Quelle était ma surprise quand il m’a répondu qu’il en avait un ! « Et oui je suis célibataire »  m’avoue-t-il. Il me dit que son profil est loin d’être parfait (il rajoute : « Sinon je ne serais pas célibataire. Les cordonniers sont les plus mal chaussés »). Hey les filles, cela vous tenterait pour la Saint Valentin de rencontrer le fondateur d’Adopte un mec ? (Inscrivez-vous sur le site, c’est écrit dessus, « Inscription en 1 minute ! »).

Quand j’ai demandé à Florent quel était selon lui l’endroit idéal pour un premier rendez-vous il m’a répondu « Un simple café, cela permet de s'enfuir en cas d'échec et ça ressemble moins à un guet-apens "qu'un verre" ». Ma foi, il a bien raison !

Doisneau, Couple amoureux dans un café parisien


Pour écrire cet article, j’ai demandé l’avis de mes amis inscrits sur le site. Je ne divulguerai pas leurs prénoms (même si l’envie m’en démange je l’avoue). Tous, aussi bien des filles que des garçons se sont prêtés au jeu et m’ont répondu. Comme j’ai promis de ne pas dire comment ils s’appelaient, j’ai décidé que de mettre des princes et des princesses à la place de leur tête, ça ne fait de mal à personne, si ?


Blanche, la première à qui j’ai demandé m’a dit que d’un point de vue féminin, elle trouve ça cool, mais il y aurait des modifications à faire sur le moteur de recherche. Aussi, le problème avec le fait de rendre la chose payante, « c’est qu’on tombe vraiment sur des tocards qui sont prêts à payer pour coucher ».



Prince Philippe (soooo sexy), trouve que le concept est plutôt bien pensé, et que ça laisse une grande liberté pour les filles cependant tu es vite catalogué : « en mode elle c’est une pute, lui c’est un kéké etc » (je ne savais même pas que des gens disaient encore kékés, j’en apprends tous les jours). Mais il rajoute que c’est propre à tous les sites de rencontres.


Un autre Mâle avec un grand M m’a également répondu. Lui avait « trouvé l’amour » et était resté trois mois avec une fille rencontrée sur le site. Il me dit que sur le site les filles mènent la danse « et du coup elles aiment bien ». Comment s’est-il retrouvé dessus ? « Perso c’est une copine inscrite depuis un moment qui m’a crée un compte en me disant « vas y c’est sympa ». Elle a prit les photos, fais ma description et je n’ai eu qu’à utiliser le « produit fini ». Le site, en fait, ressemble selon lui à tous les autres sites avec des gens qui sont susceptibles de te plaire. Ou pas. Aussi il précise que « toutes » les filles qui sont sur Adopte (il avoue généraliser un peu) précisent qu’elles ne recherchent pas de « plans culs » et que c’est bien loin d’être vrai pour la plupart d’entre elles. « Sinon c’est toujours rester convivial donc plutôt sympa et rigolo. Même si je n’y suis resté que dix ou quinze jours au final puisque j’ai rencontré une nana sur le site avec laquelle je suis resté trois mois et pas retourné depuis… »


 Rebelle (en soi elle ne ressemble en rien à Rebelle, à part son côté rebelle), à qui je pose la question pendant qu’elle est en train de touiller le chocolat me réponds « Y a que des putains de beaufs ! Des kékés » (on me l’a ressorti, oui). Puis elle se reprend en disant que ça fait un bout de temps qu’elle est dessus, sans y aller tous les jours et qu’elle trouve ça marrant. « Donne-moi ta description, je te dirai qui tu es », rajoute-t-elle. C’est en fonction de ce que le mec écrit comme information qu’elle fait son choix. S’il est mignon mais que dans sa bio il décrète qu’il est le mec parfait pour des nuits torrides, c’est non. Rebelle trouve sympa le fait qu’on ne paye pas nous, et elle trouve le site bien pensé. En y étant inscrite, elle n’a pas eu que de mauvaises surprises, et a eu deux rencards.

Une rédactrice de Teamaide a gentiment répondu à mon annonce concernant des avis sur le site. "Site ludique -> cible = jeunes. L'avantage : on y trouve de tout". Elle explique qu'elle a deux ex venant de ce site, et deux potes. S. approuve totalement ce site. "En fonction de ce que la personne recherche, elle l'inscrit sur son profil (CDD, CDI, ...). Et au moins, nous les femmes ne sommes pas bombardées de mails, à l'inverse de plusieurs sites de rencontres étant donné qu'on sélectionne nos interlocuteurs."
Elle trouve néanmoins des points négatifs : "Les hommes voient leurs concurrents (ceux qu'on met dans notre panier). Donc conseil, n'y mettez pas grande monde (résultat : réputation de salope bonjourrrr). Aussi, l'inscription est payante, cela freine certains mecs". 



Et un dernier pour la route, pour faire simple « Pour moi ce site c’est 90% de baise, 10% de rencontres et tout ça géré par les femmes ».

Je vous l’ai dis, GirlPower ;)












Moi cette année pour la Saint Valentin, c’est RAD et ses pulls pas sexy mais rigolos qui vont me tenir compagnie !




« Heureux ce qui font de leur amour une rivière , non seulement elle continue de couler, mais aussi arrose les terres arides et ceux qui font de leur amour un océan ont encore beaucoup  à apprécier, il protège toute sorte de bateaux en détresse ». Wilner Altidor







11 décembre 2013
SOURIEZ ET DITES POLABOX


Photo piochée ici 

Le jeudi 28 novembre, j’ai été sélectionné pour participer à un atelier DIY (Do it yourself) avec la bloggeuse de Mapetite valisette, Sophie-Charlotte Chapman, organisé par Polabox.
Je reviendrai sur cette soirée créative en compagnie de mes amies (une future bloggeuse de mode, une copine pas patiente et une historienne de l’art, comme moi !) mais je voudrais tout d’abord vous parler de Polabox.

Aujourd’hui c’est Antoine, le fondateur de Polabox qui répond à mes questions (merci à Marine d’avoir jouer la médiatrice !)

Qu’est-ce que Polabox ?

Photo piochée ici 

Polabox, c’est 30 polaroïds (sélectionnés dans vos photos, par vous-même) sur papier envoyés dans une boite. (Oui, en même temps je vous donne une idée de cadeau de Noël, sympa non ?)

Tout a commencé lors d’un certain retour de vacances d’Antoine et de ses amis, celui-ci voulait récupérer les photos de chacun pour pouvoir les imprimer. On ne s’en étonne pas, c’était évidemment une galère. Merci à toi, ô Facebook d’exister et de nous permettre de partager/conserver des photos plus facilement (parce que oui, y a quand même des avantages avec Facebook). Antoine lui, avait compris la puissance de la toile, et de là lui est venue l’idée de créer un outil pour imprimer des photos à partir des réseaux sociaux.
Idée en place, Antoine en parle à Aurélien et de là les deux garçons s’associent et, je cite “Et voilà comment nous sommes partis à l'aventure !”


Photo piochée ici 

Aujourd’hui ils sont 7 dans l’équipe, Aurélien (lui s’occupe de la partie opérationnelle et financière), 3 autres qui sont à la technique (Antoine Théo et Sergei) Max est le webdesigner Marine est au Marketing et Antoine le fondateur du business développement et de la communication du produit.








Afin de se faire connaître, Polabox a évidemment usé de ses charmes sur Facebook, mais aussi dans la presse.
Les blogs en parlent, on voit la pub sur Facebook, et maintenant My Little App (dont, pour celles qui ne connaissent pas, le principe est Un Jour-Une application/Un bon plan) s’y met et a proposé il y a quelques jours de télécharger l’application (photo ci-dessus).












Nous l’avons donc compris, les produits Polabox plaisent énormément. Les personnes ayant commandées chez Polabox (dont moi, je suis accro) ont la fâcheuse manie de publier les photos de leurs polaroïds dans les quatre coins de leur maison (je l’avoue, moi aussi) et de les partager ensuite sur les réseaux sociaux : très bon coup de pub pour Polabox ! Et d’ailleurs si vous voulez aller faire un tour sur leur instagram, vous verrez de chouettes idées pour décorer votre maison avec les polaroïds.
De plus, Antoine me dit que l’originalité de leur offre a également incité beaucoup de magazines à présenter leur services à leurs lecteurs, et ce gratuitement !







Que souhaite Polabox ?
Progresser et se développer, dans un premier temps, dans la France. C’est déjà parti pour, concept sympa, équipe sympa, polaroids de bonne qualité (et y en a pour tous les goûts !), une importante publicité (avec les ateliers DIY dont je parlerai dans quelques instants –patience) mais aussi les photos postées par les internautes et j’en passe. Antoine rajoute « Nous voulons surtout permettre aux gens d'imprimer leurs souvenirs de la manière la plus simple possible... :) »




Jeudi 28 décembre, Atelier DIY – La Petite Valisette & Polabox

J’ai été tiré au sort pour participer à l’atelier Do it Yourself dans les locaux de Polabox. Au programme ? Un atelier de couronne de Noël avec une vingtaine de polaroïds Polabox.
Le RDV était à dix-neuf heures, on a chaleureusement été accueillis par Antoine, Marine et Sophie-Charlotte, mais aussi par les délicieux cupcakes de Call me cupcake, et les différentes tisanes aux designs rigolos de Twit Thes.



On s’installe autour de la table et c’est parti, avec des shamallow, des copines et de la bonne humeur (sans parler du matériel nécessaire, les Fabric Tapes de la marque des Daily Like de Toga), on était enfin prêtes à faire nos couronnes.




Sophie-Charlotte nous a donné les instructions pour réaliser notre couronne, et chacune de nous a évolué à son rythme. Il y avait les rapides, les minutieuses, les créatives (ma foi, je suis bien fière de ma couronne) mais aussi les retardataires, comme Chloé qui a très vite perdue patience !
Une fois la couronne finie, on pouvait y épingler les polaroïds, comme bon nous semblait.


Voilà mon résultat ! Un petit clin d’œil à mon roman, Dieu et le vernis à ongles, mais aussi à Rome, La Ville Éternelle (merci mes TD sur l’Histoire du Patrimoine romain).


















Photo piquée ici 

Et concernant la bloggeuse à la tête de l’atelier ?
Ma petite valisette, c’est Sophie-Charlotte, une Super-Nana, une Super-Maman et une Super-Bloggeuse qui propose de laisser parler votre imagination grâce à ses tutoriels créatifs !
Si vous voulez en savoir plus sur elle, je vous conseille de lire son interview par le blog Cousette entre copines
Aussi,  autre idée de cadeaux de Noël, son livre Mes petites Masking tapes, éditions  Créapassions qui propose plus de 30 objets autour des tapes sur plusieurs thèmes. Petit plus : en le commandant sur son site elle dédicace le livre !
Autre livre, Vendre et Mettre en avant ses créations, en vente dès le 16 décembre. Véritable guide des entrepreneuses créatives et co écrit avec Sandrine Franchet des Cousette entre copines.




Chloé et moi avec nos créations 



A retenir :
Un super atelier entre filles (overdose de Cupcakes) et même s’il y avait trop de polaroïds pour la couronne, je suis bien contente d’avoir trouvé un endroit où les mettre : dans mon sapin de Noël, ça peut être original non ?



Cool la  Polabox de Noël !



Autre idée : Une jolie boîte pleine de polaroïds et de surprises pour laisser libre cours à son imagination. A l’intérieur, 40 tirages carrés, 2 enveloppes timbrées, 1 masking tape... Et plein d'autres accessoires pour personnaliser nos photos !

Bon ok, j’arrête de vendre Noël.





Polabox 



7 décembre 2013
BOBUN ME 




La semaine dernière avec ma super copine Chloé, la rédac’ chef de Teamaide, on est allées tester un restaurant !
Le restaurant Bobun Me (même le nom est sympa) est le projet de deux amis d’enfance et de leurs sœurs. L’idée est d’apporter un nouveau concept de restauration. Le restaurant est ouvert depuis février, métro Madeleine (on passe devant chez Zlatan, pour y aller, pour la petite anecdote), il se situe dans la galerie marchande au 11 rue Tronchet dans le 8e. Bobun Me propose une cuisine de qualité, du fait maison et tout ça avec un service rapide, idéal pour les travailleurs gourmands qui peuvent profiter pleinement de leur repas.




Qu’est-ce qu’on y sert ? De la cuisine vietnamienne ET africaine. Curieux mélange me direz-vous, et pourtant, ça a son charme, et c’est délicieux. La cuisine vietnamienne est réputée pour être équilibrée et complète, de son côté, la cuisine africaine est proposée par un plat du jour cuisiné par un chef-cuistot camerounais. Comptez 8 euros pour un bobun et 8,90euros pour un plat afro.

Cela demande beaucoup d’organisation. Thiên-Co, Yohan et la sœur de ce dernier Tatiana aident le cuisinier pour préparer et nourrir des clients, je cite « de plus en plus exigeants ».
C’est Giao, la sœur de Thiên-Co et aussi cuisinière qui prépare le week-end les ingrédients pour le service de la semaine, principalement les bo buns et les sandwich banh mi, de qualité.


Voilà, pour vous mettre en appétit, la tête des bo buns. Avec Chloé, on s’est régalées ! Pour cette première au resto, Thiên-Co et Yohan nous ont proposé un bo bun au boeuf et un plat africain à tomber. Outre le repas, les deux garçons sont extrêmement accueillants et plutôt sexy. Y’a pas que le piment qui donne chaud … Raison de plus pour y aller !

Le bon plan :

Les diverses sauces proposées, allant du sucré au salé, en passant par la sauce aux cacahuètes, pour votre bo bun. Et des desserts viet’ orgasmiques !









Ce que Bobun Me souhaite et surtout ce qu’on leur souhaite : Ouvrir un réseau de franchise, un « food truc » ou un snack et je cite « apporter aux français une cuisine exotique et métissée”

A vous de goûter ;)



PS : Voilà les jolis minois de la Team BobunMe, avouez qu’on ne vous ment pas quand on vous dit qu’ils sont sexys ! Ne trouvez—vous pas maintenant une bonne raison d’y aller ? J

Infos à retenir :
11 rue Tronchet Paris 8e, métro madeleine http://www.bobunme.fr/







2 décembre 2013
POKAY, DELIRIUM APPROVED

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J'ai aujourd'hui décidé de vous parler d’une marque qui s’est fait connaitre récemment et qui est sur le point de devenir assez réputée. Je vais donc vous présenter  POKAYNicolas Zugno, le « créateur » de la marque s’est prêté au jeu de l’interview et j’espère que ça vous donnera envie d’en faire le B-A.ba de votre garde de robe.
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Il était une fois…
Une bande de potes qui, blasés de chercher des marques qui correspondaient à leur style et leur envie du moment (parce que soyons clairs, les tee shirts Abercrombie différents tous les jours de la semaine, ça va cinq minutes), a décidé de créer leur propre marque. « On voulait vraiment créer quelque chose de différent mais en même temps quelque chose de simple. Nous ne sommes pas des artistes, ni des designers, notre seule prétention est de faire quelque chose qui nous ressemble ». Et c’est ainsi que tout a commencé.
Le nom même de POKAY est ce qui les unit, ils l’ont trouvé tous ensemble. Le concept de la marque est simple : Nicolas et ses potes voulaient créer leur propre « délire ». « Nos fringues nous ressemblent, on crée des choses qu’on aime et qu’on porte. C’est simple mais tellement important pour nous, on ne fera jamais quelque chose de tendance juste pour vendre. »m’avoue-t-il.
La marque fonctionne par « Délire » (vous remarquerez que le mot le plus important est bien celui-ci, oui oui) c’est-à-dire qu’il n’y aura pas forcément de cohérence entre les collections. « On peu très bien travailler sur des collections très funs, colorées ou bien faire des détournements d’images que l’on aime. On n’a pas de limite tant qu’on est prêt à porter notre création. »
Et pour cause, ce ne sont pas les seuls à vouloir la porter. La marque commence à se faire connaître (Mokobé y est pour pas mal, puisqu’il pose avec l’un des tee shirts. Ne vous méprenez pas, il ne porte pas un des tee shirts, il pose juste à côté de l’un d’eux). Aujourd’hui POKAY est vendu dans deux magasins, un à Troyes au Run Store et un autre à Dijon, au Spe6men. A quand Paris ? Affaire à suivre.
En attendant, on continue à faire parler d’eux sur le net, POKAY prend aussi des commandes via leur page FACEBOOK.

Et leur(s) projet(s) futur(s) ?
Nicolas et ses amis souhaitent créer encore et toujours de nouveaux produits. Il y a les tee shirts, mais aussi les sweats, les Snapback, les bonnets pour cet hiver (il paraît que ce serait l’hiver le plus froid qu’aura connu l’Europe…) et des accessoires. Nicolas ajoute qu’ils aimeraient « Propager notre délire partout où il peut aller, on n’a pas de limite ! »
Qui vivra verra …
t998540_384494511651889_322900022_n Et oui les filles, la marque est aussi pour vous !

1291482_10202087384689810_266861738_n Et merci à Nicolas pour mon tee-shirt, moi aussi je fais partie de la Team POKAY !

Le tee shirt : 25e
Le Pull-over : 55e
Suivez les sur Facebook ça vaut le coup d’oeil
Leur site 


9 novembre 2013



Amies de Grenoble, (mais aussi mes chères amies parisiennes, car cet article risque de vous intéresser) cherchez-vous une nouvelle boutique, une autre façon de dépenser votre argent de poche ?
Je vous propose aujourd’hui de découvrir Le Trendy Truck, le camion rose 100% fille !

Pour la petite histoire, la créatrice de Trendy Truck s’appelle Vanessa Theuriot. Avant de se lancer dans ce projet fou de magasin épéhémère, elle organisait depuis quatre ans des ventes privées (de prêt à porter et d’accessoires), que ce soit à domicile ou dans des lieux publics (notamment des salons de thé) mais aussi des soirées shopping entre filles.
En 2012, dans le froid de décembre, elle décide d’ouvrir une boutique Showroom dans un salon de coiffure, située dans un immeuble haussmanien en plein coeur de Grenoble.
Déjà, l’idée d’ouvrir un camion-boutique lui trotte dans la tête, mais c’est un projet qui, pour le moment, est laissé en second plan.
Le déclic a été le contact avec les clientes: les entendre pester à cause du manque de place pour garer sa voiture et foncer dans les boutiques, forcément, ça donne envie de se rebeller et de trouver une solution !

Et c’est parti, au printemps de cette année, Vanessa fait une demande de financement, sur le site KissKissBankBank la plate forme internationale dédiée à la création et à l’innovation. Elle récolte assez d’argent pour, en mai, acheter le camion. Puis tout s’enchaine, en juillet et août il faut aménager le camion, en passant par le choix de la couleur du véhicule (rose, évidemment, couleur girly par excellence, mais aussi parce que c’est une couleur qui attire les regards. Avouez-le, vous ne vous retournez plus devant un camion blanc maintenant !). Elle me confie “ Le plus gros fut l'aménagement intérieur et le travail de menuiserie”. Mais quand on voit le résultat on se rend compte que ça en valait la peine non ?


En ce qui concerne la promotion du Trendy Truck, Vanessa a envoyé une
proposition d’article à Grenews, le journal de la region. Une des journalistes l’a contacté, et d’autres par la suite …

Et concernant la conduite ?
Il est vrai que c’est la première question que je me suis posée. Vanessa m’avoue qu’au début elle a eu un peu d’appréhension, notamment concernant le stationnement (il n’y a pas de direction assistée). Mais maintenant, elle est la pro de la conduite du Trendy Truck, “Même plus peur :)))” me confie-t-elle.

Et dans l’avenir ?
Pour l’instant Vanessa cherche des emplacements pour son Trendy Truck, pourquoi ne pas faire les marchés de Noël par exemple ? En attendant, elle balade avec son camion dans la région Rhones-Alpes. La semaine dernière, elle a participé à la Grenoble Fashion Days.
Un meilleur souvenir ? “Ma vente au Tea Time shop”, également à Grenoble. Elle rajoute également “Il y avait beaucoup de monde… et une super ambiance ! Malgré la venue des policiers dans l’après-midi suite à des plaintes des commerçants alors que la vente n'avait même pas encore commencé.”


Evidemment, il y aura toujours des petits rabats-joies… 


Mais on y vend quoi, dans le Trendy Truck ?
De tout ! Si vous vous abonnez à sa page, Vanessa a l’habitude de prendre des photos des articles que vous retrouvez dans le camion : des bijoux, en passant par des sacs haut de gamme, sans oublier des accessoires, des vêtements, …

La question qu’on pourrait se poser c’est : quand est-ce que le Trendy Truck sera sur Paris ?
Affaire à suivre !


Site : http://letrendytruck.com
Page Facebook : https://www.facebook.com/pages/Le-Trendy-Truck/293936040743254




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